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Valenciennes, Nancy, Nice, Troyes, le Paris-SG, Nantes et Sedan se disputent, jusqu'au 26 mai, le droit de ne pas descendre en Ligue 2. Cette course pour le maintien s'est éclaircie ce week-end au détriment de Sedan et Nantes, alors que le Paris-SG envisage maintenant l'avenir avec optimisme. Valenciennes, Nice et Troyes semblent en lutte dans un match à trois pour éviter la 18e place. Retrouvez dans notre page spéciale toutes les infos pour comprendre et suivre cette lutte.

14e : NANCY (43 points, 28 bp, 38 bc, -10)
Dernier match : victoire 1-0 à Lille
Tendance : Avenir en Ligue 1 sauf catastrophe.
Pourquoi y croire : Après une longue descente aux enfers, Nancy s'est superbement repris en enchaînant deux succès consécutifs (Valenciennes, 1-0, Lille, 1-0).
Pourquoi le club s'est fait peur : Un effondrement spectaculaire en deuxième partie de saison : une victoire seulement entre le 23 décembre 2006 et le 21 avril 2007.
Le calendrier : Nice, à Marseille, Sochaux, à Monaco.

15e : PARIS-SG (41 pts, 38 bp, 39 bc, -1)
Dernier match : victoire 3-1 à Toulouse
Tendance : Très très favorable. Avec une victoire contre Lyon et une absence de victoire de Troyes à Auxerre, le PSG serait sorti d'affaire à trois journées de la fin.
Pourquoi y croire : Avec 13 points pris sur 15 possible, le club de la capitale a enfin le comportement du candidat au podium qu'il aurait dû être. Et la réussite est revenue.
Pourquoi le club s'est fait peur : Une terrible inefficacité à domicile (4 victoires et 7 défaites en 14 matches avant les victoires contre Le Mans et Nantes), plus une certaine déveine (blessures, arbitrage).
Le calendrier : Lyon, à Nice, Troyes, à Lorient.

16e : VALENCIENNES (39 points, 33 bp, 43 bc, -10)
Dernier match : 2-2 contre Monaco
Tendance : Plutôt favorable (4 points d'avance), mais le moindre coup de mou sera payé cash.
Pourquoi y croire : Le groupe forge sa cohésion depuis trois saisons. Il a démontré sa formidable combativité contre Monaco, en remontant deux buts dans les toutes dernières minutes (2-2).
Pourquoi douter : Depuis que l'effet de surprise a disparu, les ex-pensionnaires de National ont semblé sans solution. Chaque match est un combat.
Pourquoi le club en est là : Le promu était totalement inoffensif à l'extérieur en 2006 (1 point en 10 déplacements), il ne gagne plus chez lui en 2007 (6 points sur 24 possibles). Il a perdu 15 matches sur 34 : seul Nantes fait moins bien.
Le calendrier : à Sochaux, Saint-Etienne, à Sedan, Auxerre.

17e : NICE (38 points, 30 bp, 34 bc, -4)
Dernier match : nul 0-0 face à Auxerre
Tendance : Plutôt favorable, mais Troyes oblige Nice à ne rien lâcher.
Pourquoi le club en est là : Une entame catastrophique qui a tout plombé (1 point sur les sept premières journées)
Pourquoi y croire : Depuis la reprise, l'équipe a le niveau de jeu et l'efficacité qui s'étaient dessinés fin 2005-2006.
Pourquoi douter : L'ambiance à l'intérieur du club est très difficile et a failli tout emporter fin janvier.
Le calendrier : à Nancy, Paris-SG, à Lens, Le Mans

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18e : TROYES (35 points, 33 bp, 49 bc, -16)
Dernier match : victoire 3-2 contre Sedan
Tendance : Plutôt défavorable, mais rien n'est perdu (3 points de retard à quatre journées de la fin).
Pourquoi le club en est là : Une absence de résultats à l'extérieur (1 victoire et 11 défaites en 17 matches).
Pourquoi y croire : Comme l'an dernier, Troyes s'est préparé à se sauver par le jeu : le club a la tête froide dans la tempête, sa victoire au couteau contre Sedan l'a montré (3-2).
Pourquoi douter : Un effectif un peu ''juste'' pour la L1 et un calendrier très difficile.
Le calendrier : à Auxerre, Rennes, à Paris, Lens.

19e : SEDAN (31 points, 41 bp, 53 bc, -12)
Dernier match : Défaite 2-3 à Troyes
Tendance : Très défavorable.
Pourquoi le club en est là : Un tempérament offensif mal maîtrisé, qui a coûté 53 buts à cette équipe très remaniée à l'intersaison.
Pourquoi y croire : Même le président n'y croit plus...
Pourquoi douter : ...7 points à combler en quatre journées, c'est un écart très important.
Le calendrier : Lorient, à Lille, Valenciennes, à Marseille.

20e : NANTES (30 points, 26 bp,45 bc, -19)
Dernier match : Défaite 0-2 contre Rennes
Tendance : Très défavoable. Une défaite au Mans combinée à une victoire (voire un nul) de Nice à Nancy expédierait Nantes en L2 à trois journées de la fin.
Pourquoi le club en est là : Marquer est un calvaire pour les Canaris (26 buts en 43 matches) après deux marchés des transferts ratés.
Pourquoi y croire : Parce qu'il reste un très mince espoir mathématique.
Pourquoi douter : La dérive de Nantes depuis le rachat par la Socpresse, actionnaire contesté et sans conviction, semble mener à une issue inéluctable. Le calendrier est corsé. L'ambiance en interne détestable.
Le calendrier : au Mans, à Bordeaux, Toulouse, à Lyon.

Frau et Traoré blessésMauvaise nouvelle pour le PSG : Pierre-Alain Frau et Sammy Traoré seront indisponibles pour les semaines à venir. L'attaquant sera absent un mois alors que le défenseur manquera entre deux et trois semaines. Frau souffre d'une «lésion de l'aponévrose plantaire du talon», et Traoré d'une «lésion aux ischio-jambiers de la cuisse droite», selon le point médical. L'Argentin Marcelo Gallardo a quant à lui quitté l'entraînement prématurément mardi et souffre d'une «lésion au mollet droit», sur laquelle un point sera fait en fin de semaine

Course a l'europe : sprint final !

Très indécise tout au long de la saison, la course aux deux places qualificatives pour la Ligue des champions, derrière Lyon, n'a encore livré aucune tendance à quatre journées de la fin. Cinq clubs (Bordeaux, Lens, Marseille, Toulouse et Rennes) se tiennent dans un espace étroit. Sochaux semble avoir quitté la course à Marseille (2-4). Le point, club par club, sur un sprint final très serré.

2e (C1, qualif directe) : BORDEAUX (55 points, 37 bp, 30 bc, +7)
Dernier match : victoire 1-0 contre Lens
Tendance : Très nettement à la hausse. Bordeaux reste sur six matches sans but encaissé toutes compétitions confondues, neuf matches de L1 sans défaite dont cinq victoires. Son meilleur rendement de la saison, au meilleur moment.
Pourquoi douter : Un seul match à domicile sur les quatre derniers et un calendrier globalement difficile. Et quand une série s'arrête, il est très dur de repartir : Lens et Toulouse sont en train de le prouver. Lille l'a déjà fait.
Le calendrier : à Rennes, contre Nantes, au Mans, à Toulouse.
Expérience : Deuxième l'an passé avec la même ossature, Bordeaux connaît son sujet.

3e (C1, tour préliminaire) : LENS (53 points, 45 bp, 35 bc, +10)
Dernier match : défaite 0-1 à Bordeaux
Tendance : Plutôt inquiétante. Le Racing n'a cadré aucune frappe lors de son dernier match et n'a gagné qu'un seul de ses sept dernières rencontres (quatre défaites). Lens fut deuxième avec 6 points d'avance. Il est troisième avec 2 points de retard.
Pourquoi douter : Lens n'a plus le même volume de jeu ni le même réalisme qu'au coeur de l'hiver alors que trois concurrents au moins sont en forme ascendante.
Le calendrier : Toulouse, à Lyon, Nice, à Troyes
Expérience : Lens n'a plus joué la C1 depuis 2002 et brûle d'y retourner. L'attente est réelle mais l'effectif semble plutôt mal vivre cette pression.

4e (C3) : MARSEILLE (52 points, 46 bp, 35 bc, +11)
Dernier match : victoire 4-2 contre Sochaux
Tendance : A la hausse. Cela faisait deux mois et demi que l'OM n'avait pas pris place dans Top 4. Il est irrésistible au Vélodrome (quatre victoires consécutives). Ses pièces essentielles, Ribéry, Nasri, Rodriguez, Cana, voire Cissé et Niang, restent sur des matches de grande ampleur.
Pourquoi douter : A chaque fois que l'OM a dû donner le dernier coup de rein, il s'est effondré. Le podium n'est qu'à un point mais...
Le calendrier : à Monaco, Nancy, à Saint-Etienne, Sedan
Expérience : Absent de la C1 depuis 2003, Marseille peine, depuis, à assumer son prestige et son budget (75 millions d'euros). L'OM rate généralement ses sprints finals...

5e (Intertoto ou C3*) : TOULOUSE (52 points, 41 bp, 39 bc, +2)
Dernier match : défaite 1-3 contre le Paris-SG
Tendance : Franchement la baisse. Le TFC, deuxième au soir de la 32e journée, vient d'encaisser six buts en deux matches, sortant de la zone des qualifiables pour l'Europe.
Pourquoi douter : Le TFC semble avoir renoué avec l'inconstance de sa première partie de saison. Et il ne marque plus que sur des exploits individuels.
Calendrier : à Lens, contre Le Mans, à Nantes, Bordeaux.
Expérience : Le club n'a plus joué la C3 depuis 1987 et n'a plus terminé en première partie de tableau depuis 1990 (9e). Il répète à l'envi que l'Europe n'est pas son ambition, même si les joueurs voient le podium s'éloigner avec crispation...

6e : RENNES (51 points, 31 bp, 26 bc, +5)
Dernier match : victoire 2-0 à Nantes
Tendance : A la hausse. Le Stade rennais atteint sa meilleure forme au meilleur moment : sept matches sans défaite dont quatre victoires.
Pourquoi douter : Il reste un retard de 2 points sur le podium malgré cette bonne passe. Le club ne maîtrise pas son destin.
Calendrier : Bordeaux, à Troyes, contre Lorient, à Lille
Expérience : Une malheureuse la saison passée. Après une série encore plus impressionnante, le Stade rennais n'avait pu maintenir son effort jusqu'au bout et ne s'était qualifié pour rien. Rennes n'a jamais joué la C1. Seulement deux C2 (1965 et 1971) et une C3 (2005).

Mathématiquement, SOCHAUX (7e, 48 points), SAINT-ETIENNE (8e, 46 points), LILLE (9e, 46 points), LORIENT (10e, 46 points) et MONACO (11e, 45 points) ne sont pas totalement hors du coup. Mais ce sera très difficile...

* La France aura, à l'issue de la saison, un qualifié pour la Coupe de l'UEFA issu du Championnat (a priori, le 4e), et un qualifié pour la Coupe Intertoto (le 5e). Cependant, si le vainqueur de la Coupe de la Ligue (Bordeaux) et celui de la Coupe de France (Marseille ou Sochaux) terminent à une place de qualifiable pour la Ligue des champions, le cinquième de la L1 ira en C3 et le sixième, s'il l'accepte, en Intertoto.

Grâce à la victoire de Rennes contre Toulouse (3-2) samedi soir, Lyon s'est offert une sixième couronne nationale. Retour sur une saison exceptionnelle et sur ce record de six titres consécutifs.

J'espère que Paris va gagner

L1 - Paris-SG - 08/05/2007Le Guen : «Un sommet»Paul Le Guen, l'entraîneur du Paris-SG, estime que le match opposant son équipe à l'OGC Nice, mercredi, est un vrai «sommet pour le maintien». C'est ce qu'il a déclaré aujourd'hui au Parc des Princes lors de sa conférence de presse. Le coach parsisien n'a pas caché qu'il aimerait bien que ce maintien soit assuré contre Nice. «Il faut continuer de faire des efforts mais c'est vrai qu'on aspire à plus de tranquillité. Les joueurs sont devenus plus confiants au fil des matches mais un maintien définitivement assuré permettrait d'être plus sereins. J'aimerais que dans l'esprit des joueurs, le match le plus important soit celui contre Nice et pas celui contre Troyes».

Suspendu contre Lyon, Peguy Luyindula fait son retour dans le groupe, tout comme Sammy Traoré et Marcelo Gallardo. Comme à son habitude, l'entraîneur breton n'a pas dévoilé ses plans pour mercredi mais avoue que l'absence de Pierre-Alain Frau lui pose quelques difficultés. «Le poste de milieu droit n'est pas un poste où les joueurs ont des dispositions particulières. Gallardo est une possibilité tout comme faire monter Mendy à droite. J'ai choisi Edouard (Cisse) à ce poste contre Lyon, c'est un poste qui demande réflexion».

Une certitude néanmoins chez Paul le Guen. «Je crains la mobilisation totale de Nice, ils sont sous la menace, ils sont en danger, plus que nous, leur motivation va être énorme. Nice va probablement hisser son niveau de jeu, ce sera offensif je pense comme quand ils ont joué contre Auxerre. Dans ce contexte, un point ne serait pas forcément une mauvaise opération !»

Il y a trois semaines, Toulouse forçait l'admiration par la régularité de ses résultats. Du jeu, de la réussite et le Téfécé était aux portes de la Ligue des champions au nez et à la barbe du rival voisin, Bordeaux. Seulement voilà depuis quatre matches, Toulouse est hors sujet. Hier soir, les hommes d'Elie Baup ont carrément été absents face à des Manceaux libérés qui se sont imposés 1-0. Toulouse peut avoir des regrets. Immenses.
Toulouse ne joue pasAlors que l'on imaginait le Téfécé parti pour créer la surprise de cette deuxième partie de saison, La Mans en s'imposant au Stadium a ramené les Toulousains sur terre. Et même peut-être plus bas que terre, puisque les hommes d'Elie Baup ont enregistré leur quatrième défaite consécutive. Alors qu'il rêvait de Ligue des Champions, le Téfécé pointe ce matin à la 7e place à quatre points de Lens, 3e.
Sans doute échaudés par les défaites récentes, et les huits buts encaissés en troiis rencontres, Toulouse a débuté le match timidement et prudemment. La première escarmouche est toutefois l'oeuvre de Mathieu sur coup franc mais Pelé était vigilant (13e).
Déjà assurés de leur maintien, les Manceaux jouent sans pression particulière, si ce n'est avec l'ambition de mettre fin à leur série de six matches sans victoire (3 nuls, 3 défaites).Le match traîne en longueur et peine à s'emballer. Matsui est près de mettre fin à cette apathie, mais sa frappe est trop enlevée et passe de peu au-dessus (27e). Sans imagination, le TFC ne parvient pas à trouver son attaquant suédois Johann Elmander, bien trop esseulé en attaque.
Une reprise de Sessegnon à côté (36e), une tête de Grafite (41e) et surtout une frappe de Calvé sur la barre (42e) témoignent, au contraire, des réelles velléités offensives des Manceaux, qui, à la pause, peuvent regretter de ne pas avoir trouvé la faille.



Grafite trouve l'ouvertureAu retour des vestiaires, les hommes de Baup essaient enfin de sortir de leur torpeur, mais sans réel succès devant le bloc compact des Manceaux.
Obligés de l'emporter pour rêver à la Ligue des champions, les équipiers d'Arribagé, semble-t-il très fatigués, sont bien loin de leurs ambitions.
Conscients des faiblesses toulousaines, Le Mans parvient à enfoncer le clou en ouvrant le score sur un joli ciseau de Grafite, qui plonge le Stadium dans le doute (84).
Si Toulouse réussit pourtant à égaliser deux minutes plus tard, sur une frappe d'Ebondo, M. Duhamel invalide le but pour un hors-jeu de Dieuze (87).
Un coup du sort qui accentue la détresse des Toulousains, désormais contraints à des exploits lors de leurs deux derniers matches pour éventuellement rejoindre la scène européenne.

A l'occasion d'un chat organisé par la Provence avec les internautes mercredi, Pape Diouf en a profité pour faire un point sur les transferts de l'Olympique de Marseille. Le président de l'OM (2e du classement après la 36e journée) a ainsi indiqué que le milieu français de Libourne-Saint-Seurin Vincent Gragnic (23 ans) devrait rejoindre le club phocéen la saison prochaine. « Gragnic est un jeune joueur qui évolue à Libourne-St Seurin, club avec lequel nous avons établi une forme de collaboration qui nous permet de faire des échanges. C'est ainsi que Valbuena nous a rejoints en début de saison et que nous avons prêté à Libourne-St Seurin Begeorgi et Deruda. Gragnic, repéré par nos recruteurs, pourrait bien effectivement venir chez nous. »

« Pour ce qui est de Kebé, son cas est aussi à l'étude. Enfin Faty de Rennes, jeune joueur libre, pourrait nous intéresser. Mais aujourd'hui il intéresse plusieurs clubs. On attend pour l'instant... », a également souligné Diouf pour qui la venue de l'attaquant de l'Inter Milan, Alvaro Recoba, n'est « pas réalisable économiquement et financièrement ». « Mais que nos supporters se rassurent, nous ferons en sorte de présenter à notre public la saison prochaine une équipe talentueuse et compétitive. » Interrogé sur le profil du Lillois Mathieu Bodmer, Diouf a déclaré que « notre cellule de réflexion et de recrutement se penchera sur son cas si besoin est. » « Nous ne prendrons des joueurs quelque soit leur situation contractuelle que s'ils constituent pour nous un vrai renfort, a-t-il ajouté. Pour mettre en place une équipe compétitive, il ne suffit pas d'aligner ensemble des joueurs de talent mais surtout de trouver des éléments certes talentueux mais complémentaires. »

Questionné à propos d'un éventuel échange Ribéry-Drogba, Diouf n'a pas éludé le sujet. « Je n'ai pas encore reçu ni formellement ni indirectement une offre de Chelsea pour Franck Ribéry. Envisager donc aujourd'hui un échange Ribéry-Drogba ne me paraît pas réaliste ni envisageable. La situation de Didier Drogba est telle aujourd'hui que l'OM n'est plus en mesure de s'aligner financièrement sur ses conditions. » « Franck Ribéry a bénéficié de ce qu'on appelle communément un bon de sortie, a ajouté le boss phocéen à propos du milieu offensif international. Cela ne veut pas dire qu'il est parti ou qu'il partira puisque, pour que ce départ soit effectif, certaines conditions doivent être remplies : 1. un club qui veuille le prendre, 2. qu'il veuille lui-même aller dans ce club, 3. que ce club et nous-mêmes trouvions une solution qui nous permettrait de nous redéployer différemment (sur le plan financier). »

Enfin, Pape Diouf s'est exprimé au sujet de Samir Nasri en se montrant ferme et Djibril Cissé dont l'avenir à l'OM demeure encore incertain malgré son joli but victorieux, mercredi soir contre Nancy (2-1). « Pour ce qui est de Nasri, je suis formel : son départ n'est pas à l'ordre du jour. Il restera à Marseille pour la saison prochaine. Le cas Cissé est différent, il est l'objet d'un prêt et pour qu'il puisse continuer à jouer avec nous il faut un accord tripartite : Liverpool, le joueur et l'OM. Après la finale on abordera le dossier. Je reste acquis à l'idée que c'est un joueur qui peut rendre de grands services à l'OM. »

Bordeaux s'impose 2-1 à domicile face à Valenciennes, profitant par ailleurs du faux-pas de

Nancy à Metz, tenu en échec 0-0 au stade Saint-Symphorien.

Strasbourg a confirmé ses bons résultats en s'imposant face à Lille 3-0, renvoyant les hommes de Claude Puel à la 13e place du classement.